Monday, December 21, 2009

Season's greetings

My greetings are only:

Peace, Happiness and a Clean World for our descendants. Three fundamental bases for a human being.

Saturday, October 17, 2009

Similarities between now and past epochs

When I think of the crisis we are going through these days, the past times when Britain was involved in World Wars I and II and the debts she incurred in come also to my memory. One of the outcomes of these wars was the foundation of the State of Israel, which was demanded of Britain by Baron Rothschild as a proof of gratefulness for the loans his House made to the British Government.

Not only Britain but almost all the countries of the world are now incurring in debts in a desperate effort to climb out of the pit of the crisis, which - every aspect of it so attests to -, the private banking system has submerged us into, and I am thinking which compensation will that very same banking system demand of our countries. I see around me symptoms that this may become a reality. One of the them is the efforts the Spanish PM is making for when he becomes President of the EU to set up once and for ever the State of Palestine.

It intrigues me that this is so and I wonder what more concessions will be made to the State of Israel that will stop the situation of permanent conflict in the Zone. How the Palestinians will be subdued to the more powerful neighbour state in exchange for the cease of persecutions and other excruciating pains the Israelis are inflicting on the Palestinians. Israel has not been able to do away with the resident Palestinians, much that it has done to the effect, so it seems the only solution that will be sought is to create what I may call a satellite state vassal to the Great Israel.

I am afraid the Great Israel is already on its way to be constituted, this time without any more inconveniences to the Israelis.

Experience teaches.

Sunday, October 11, 2009

État des libertés en France?

Pourquoi seulement en France? Je pense que cela nous arrive à tous dans tout le monde. La situation est pareille n'importe oú l'on met ses yeux.

http://inventerre.canalblog.com/archives/2009/10/11/15377997.html

Guy Carcassonne a le goût du paradoxe. Il en fait à nouveau la démonstration dans le numéro de la revue Pouvoirs qu'il vient de coordonner sur l'état des libertés en France. Alors que le débat sur les menaces ou les atteintes auxdites libertés rebondit avec insistance, ces derniers temps, dans le débat public et politique, il introduit cet ensemble de contributions très riche et éclairant par un contre-pied. "Que de progrès accomplis !", s'exclame-t-il en pointant le "chemin fantastique" parcouru depuis une trentaine d'années dans la défense des libertés publiques et leur extension à de nombreux domaines aussi importants que la bioéthique ou l'écologie.

G

Mais c'est pour mieux souligner combien ce renforcement formel de la protection des libertés laisse place à un "malaise diffus" de plus en plus insistant devant la remise en cause de la liberté elle-même, de plus en plus attaquée ou plus insidieusement "négligée" par des "législations émotives", édictant des interdits tous azimuts pour faire mine de répondre au moindre fait divers dramatique. Cela joue sur les terrains très variés explorés dans cette livraison.

Celui de la santé publique est particulièrement représentatif des ambivalences contemporaines. Didier Tabuteau y décrit les "innombrables atteintes aux libertés individuelles et, parfois même, aux libertés publiques" imposées, sans guère de contestation, par "le Léviathan sanitaire des sociétés modernes".

La liberté n'apparaît pas seulement contrariée par les multiples obligations, réglementations et interdictions instaurées dans l'intérêt de la santé publique ou pour protéger les personnes contre des conduites à risques ; elle est également, de manière de plus en plus généralisée et sous le couvert de la responsabilisation individuelle, "conditionnée" par le mouvement général de normalisation des comportements et pratiques en matière de santé. "La médicalisation de la société porte la menace d'un encadrement social des destinées humaines", conclut-il.

Il en est de même de la prolifération des "lois domestiques" qui pénètrent dans les foyers pour régenter la vie quotidienne des individus et des familles. Dans des domaines aussi divers que la sécurité des piscines ou des ascenseurs, l'éducation des enfants, mais aussi les violences conjugales,

l'Etat-providence entend protéger les individus contre les dangers de la vie en société, contre les autres, voire contre eux-mêmes, souligne Nicolas Molfessis. Avant d'ajouter, sans ménagement, que cet engrenage protecteur conduit à une "infantilisation " des citoyens et s'inscrit dans une "logique totalitaire" inquiétante.

Sur un tout autre terrain, celui du droit des étrangers, Serge Slama analyse également la contradiction entre, d'une part, les progrès remarquables, depuis une quinzaine d'années, dans l'admission des étrangers aux différents droits et libertés collectifs et, d'autre part, la "régression" des libertés personnelles des étrangers dans "l'étau" sécuritaire et répressif des politiques d'immigration.

Enfin, sur l'aspect le plus emblématique et le plus discuté de ce débat - celui de l'évolution de la politique et de la procédure pénales françaises -, Pierre-Olivier Sur dresse un réquisitoire aussi solide que cinglant de la rafale de lois adoptées depuis sept ans : "L'évolution du droit pénal, par stratification, à coups de réformes menées sous l'exigence de chocs émotionnels, conduit à une impressionnante marche arrière en termes de libertés publiques."

Brillante, et inquiétante, synthèse.

Sunday, September 6, 2009

The cure for stress is not pills but saying 'No'

http://www.independent.co.uk/opinion/commentators/janet-street-porter/editoratlarge-the-cure-for-stress-is-not-pills-but-saying-no-1782536.html

The Independent:
quote

Janet Street-Porter

Sunday, 6 September 2009

Belatedly, the Government has announced that, along with alcohol and cigarettes, another highly popular and legal way of dealing with modern life's little difficulties is to be sold with a prominent health warning. All painkillers that contain codeine will be available from next year only in packs of 32, and the packaging will prominently state "Can cause addiction. For three days' use only".
Unquote


What makes the human being become so dependent from drugs? Comfort? Or is it their own idiosyncracy, or their subconscious, that compel them to obey what they hear from supposedly well informed sources? Doctors and Chemists have much to do with our tendencies to adopt drugs as the only remedy for our ills. We have had porcine flu now as an example. The world is upside down because of announcements made by Health Authorities that "A" flu is more or less the last plague in our lives, something like God's flail for our sins. Whereas the "other" flu - that happening every day every year - kills thousands, hundreds of thousands, this one has become the focus of every government in every country on Earth. Why?

The answer is easy. Many commentators have proposed that it is really a hoax to make governments spend in pharmaceuticals. And I think they are not very much wrong.

What happens with stress, then? Why are we advised by doctors and other health professionals to use pills to fight stress?

In my opinion it is all a question of education, of people being well aware how their ills can be suppressed by means other than medicines, and this is something that might start since we are mere children. To that effect parents should be warned no to unduly give their children medicines that will only cause an addiction for life which is more dangerous than the very illness that is treated.

And I am not only referring to the drugs that are deemed addictive, I am referring to all kinds of medicines: aspirins, anaelgesics, etc. Medicines should be left as the last resource to heal a human being.

But it is clear this recommendation of mine will not be received with a smile by the multinational Pharmaceuticals.

Monday, August 31, 2009

Quand la monnaie des contribuables sert à déviations frauduleuses

http://inventerre.canalblog.com/archives/2009/08/31/14901616.html

C'est incroyable. Si vous lissez cet article vous verrez qu'on ne parle rien d'intervention du gouvernement francais à propos de la situation de l'entreprise après avoir recu cette importante contribution de l'état pour renflouer sa situation économique.

Je pense que c'est d'ores et déjà le temps d'agir contre toutes ces infractions morales et économiques. Peut-être un embargo aux importations en provenance des pays oú ces entreprises traîtres ont deployé leurs effectifs serait la réponse correcte...

Saturday, August 29, 2009

Les bonus et les risques : le retour de la spéculation

http://www.canalblog.com/cf/fe/tb/?bid=295434&pid=14882962

Je ne crois pas que les spéculations se soient terminées. Tout a éte une spéculation depuis le principe: la crise est une spéculation, ce qu'ils on dit à propos des traders, ce qui a parut dans les médias, tous ces "nouvelles" font partie de la gigantesque spéculation.

Ici en Espagne si les constructeurs de logements remboursaient ce qu'ils ont surchargé sur les prix normaux, la crise serait terminée. Et je pense que ca a survenu partout, d'une facon ou d'¡autre.

C'était une hyperinflation qui a éte ici à la base de tout.

Préméditation et traîtrise est l'expression.

Sunday, August 23, 2009

La pire pandémie: La Peur

J'ai lu ici http://inventerre.canalblog.com/archives/2009/08/23/14818565.html un article qui m'a fait penser à ce qui est réellement les plus important fournisseur de la monnaie aux grandes entreprises du monde : La Peur.

Les guèrres, parmi elles l'Iraq et l'Afghanistan, sont pour le moment comme il l'était la merveilleuse guèrre du Vietnam, une source de revenus pour toutes les entreprises ayant à voir avec la guèrre, et naturellement toujours les pharmaceutiques. Au même temps si elles servent pour protéger les gisements pétrolifères, tant mieux.

La peur sert aux classes dominantes pour dominer, bien à travers des revenus ou bien à travers du sense de protection qu'elles donnent au peuple. C'est bien entendu le Nouvel Ordre don't tant nous ont parlé les Médias. L'Ordre du Terreur, je voudrais dire.

Et qu'est-ce que pensent les gens? Seulement ils pensent à s'en tirer. Pas de problèmes: mon salaire, mon football, ma messe, mon whisky, cela qui me distrait, ca c'est mon seul souci. Pas plus. Sans s'en rendant compte que cette attitude sert à l'exploitation d'eux mèmes.

Et les entreprises s'en profitent.

Wednesday, August 19, 2009

La reprise mondiale a commencé, FMI

Je crains que ce ne soit qu'une diversion pour calmer la peur de nos pauvres consommateurs et, surtout, les chômeurs. Parce que si cette peur-là progrèssait alors nous pourrions nous trouver dans des circonstances pas agréables. Quelque chose que ceux réelment détentant le pouvoir ne voudraient.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/08/18/le-reprise-mondiale-a-commence-selon-le-fmi_1229756_3234.html#xtor=RSS-3208

Sunday, August 16, 2009

La Crisis

Leo en varios blogs opiniones en relación con la crisis que no hacen sino intranquilizarme. Por una parte en http://www.betapolitique.fr/Crise-systemique-le-trou-noir-35340.html leo que de término de la crisis, nada de nada. Que lo que el gobierno americano pretende que se crea no es lo que va a ocurrir. Por otra parte http://ecofi.blog.lemonde.fr/2009/08/10/comportement-boursiers-et-evolution-des-marches/ mete a la bolsa por medio, cuando de todos es sabido que bolsa y situatión real no parecen ir de la mano.

Cuando el Euro hizo acto de presencia en las compras y ventas españolas el 1 de Enero de 2002, la debacle se cernió sobre el pais. Los españoles perdieron el sentido del valor monetario, dándose importancia a lo cuantitativo en lugar de a lo cualitativo. Así tenemos que lo que antes nos costaba 60 pesetas (el café en los bares) pasó a costarnos 60 céntimos de Euro (= a 100 pesetas aproximadamente), es decir ni más ni menos que casi el 70% más caro. De forma más o menos desordenada fue ocurriendo lo mismo con todo lo que no fueran productos tan básicos como el azúcar, el pan, la harina. En términos generales el gobierno de la nación entonces, presidido por José María Aznar, reconoció extra-oficialmente que la vida había subido un 30% aproximadamente. La realidad fue que el incremento superaba esta cifra.

Estamos en un pais de economia libre de mercado. Los precios se pagan o no se pagan, dependiendo de que sean razonables o no. Por lo que las autoridades competentes no intervinieron en el control de los nuevos precios. Todos los españoles de a pie pudimos comprobar como la cantidad de dinero que antes utilizábamos para hacer la compra, con la nueva moneda procedente de nuestros ingresos - que no sufrieron modificación alguna - se nos iba poco a poco haciendo insuficiente. Los comerciantes no tuvieron escrúpulos en elevar sus precios en proporciones desmesuradas. Y nosotros - los españoles de a pie - seguimos pagando.

Como si esto fuera poco, veo que repentinamente los precios de las viviendas se vieron aumentadas en muchos casos en el 100%. Como los bancos privados soltaron la mano en la concesión de hipotecas para las compras de los nuevos pisos, sin atender a razones de solvencia - contrariamente a lo que habian venido haciendo hasta ese momento -, y la duración de las hipotecas llegó hasta 50 años, con lo que la cantidad que el comprador tendría que pagar al principio se podia equiparar en su cuantía a la de un alquiler normal, se produjo de forma exagerada el "boom" de la adquisición de viviendas. Nadie se dió cuenta que los tipos de interés podían cambiarse y que la base de esos tipos habia sido incrementada al doble. Los constructores no sufrieron en la mayoria de los casos el menor riesgo puesto que se trataba, en el caso de las hipotecas, de una relación comprador/banco.

Y cuando todo se paró, y cuando los tipos empezaron a crecer, todo se vino abajo.

Lo que vino después es sabido de todos, pero quiero insistir en que lo que realmente entró en crisis fueron las economías personales de los compradores. ¿Porqué, entonces, se ha generalizado todo? Los bancos no son tontos y estoy seguro de que vieron venir la catástrofe. Recuerdo al Sr. Botin, Presidente del Banco de Santander, diciendo que la Banca española era fuerte y podía soportar lo que estaba ocurriendo, al igual que el Presidente del Gobierno, José Luis Rodriguez Zapatero.

Entonces sólo una pregunta me queda:

¿PORQUÉ?

Thursday, August 13, 2009

Une femme interdite de piscine en France - burkini?

Céla m'étonne que en plein siècle XXI ce soit toujours la discrimination réligieuse qui prend les premières dans les journaux. Cette nouvelle apparue dans Le Monde en est la cause.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/08/12/une-femme-interdite-de-piscine-pour-cause-de-burqini_1228075_3224.html#xtor=RSS-3208

Je me rapelle des situations qui avaient lieu dans le siècle passé par les objections faites para l'Église Catholique à propos des bikinis, même des top-less. Ces situations ont été changées par les femmes at les hommes qui ont estimé que l'Église n'avait rien a voir avec la liberté individuelle des personnes. Et l'Église devait avaler ses propres objections.

Peut-être nous devons attendre a ce que les burkistes arrivent à la même position oú les Catholiques étaient le siècle passé.

Thursday, August 6, 2009

Murdoch papers to charge for websites by 2010

Media mogul Rupert Murdoch has reached the conviction that his papers on line have no more influence on everybody. Internauts have realised which news are credible and which are not and they have come to the conclusion Murdoch's are within the latter. Murdoch will keep publishing on the internet and his news will not be free, but that doesn't matter to him because those loyal will keep reading them and that's at least something positive for him.

Quote

By Stephen Foley in New York

Thursday, 6 August 2009


Reuters

Only one Murdoch newspaper currently charges for access to its website: The Wall Street Journal

The days of being able to read newspapers for free on the internet are coming to a close, the media mogul Rupert Murdoch signaled, as he promised The Times and The Sun would begin charging for access to their websites within months.

In a sweeping rethink of how the beleaguered newspaper industry operates, the News Corporation founder declared that quality journalism must come at a price.

"We will be platform neutral, but never free," Mr Murdoch told investors, moments after revealing that plunging revenues from his newspapers had helped push the company into the red. With newspaper advertising collapsing, "the drumbeat for change" is only growing louder, he said. "Quality journalism is not cheap, and an industry that gives away its content is simply cannibalising its ability to produce good journalism."

The plan to charge for online news is being hatched by a team of Mr Murdoch's senior lieutenants, including his son James, and Rebekah Wade, the editor of The Sun who is moving up to become head of News International, the newspaper division that controls the company's four British titles.

And it could also mean the start of charges to access Sky News on the internet, Rupert Murdoch signaled last night. The same online strategy will be adopted at News Corp's US businesses, which include the Fox News cable channel and The New York Post newspaper.

Only one Murdoch newspaper currently charges for access to its website: The Wall Street Journal, which he bought two years ago. At the time of the acquisition, the mogul planned to scrap the charges, but changed his mind on realising that he would not recoup the lost revenue by charging more for adverts.

Executives are still to decide how much the UK's online newspaper readers will be billed and for what sorts of content, but Mr Murdoch said he was not scared about losing readers if he is the first to start charging. "If we are successful, we will be followed by all," he predicted. Fees will be introduced by the end of News Corp's financial year, which runs until next June.

Advertising at Mr Murdoch's four UK titles fell 18 per cent in the three months to the end of June, News Corp revealed last night. While the rest of the sprawling media company, which also owns TV networks in the US and satellite television in Europe and Asia, has seen a rebound in advertising income in July, Mr Murdoch said, there has been no such rebound in newspaper ads. The 78-year-old businessman declared again that he would emerge stronger from the current recession, particularly if it puts rival newspapers out of business. Amidst rumours in the UK that loss-making Guardian Media Group has hatched a plan to scrap its Sunday paper The Observer, Mr Murdoch was asked if he might consider buying it. "Hell no," he replied. "Why?"

Unquote


http://www.independent.co.uk/news/media/online/murdoch-papers-to-charge-for-websites-by-2010-1767981.html


Monday, August 3, 2009

Justicia y Venganza

Dos términos que se contraponen abiertamente, pero que estoy cansado de ver en los medios como algo natural para miles de personas cuando se trata de juzgar a alguien que ha cometido un delito contra la persona o propiedad de sus convecinos, amigos y familiares.

Veo gentes en las calles arrojando piedras a los vehículos que transportan a los que en esos momentos no son sino presuntos criminales, o tratando de agredirles personalmente, algo que en sí mismo es tambien un delito. Vergonzoso, pero claramente un problema de buena educación.

El nuevo modelo de educación puesto en nuestro conocimiento por el gobierno actual me parece que, si encierra en sus enseñanzas los principios que deben conducirnos para una pacífica convivencia, podría corregir estos defectos que están inundando las actitudes de los miembros de nuestra sociedad.

Sé que es muy difícil ir contra los sentimientos personales de todas y cada una de las personas que, de una forma u otra, se ven afectadas por delitos cometidos contra sus personas o contra de allegados, pero el sentimiento de justicia debería estar siempre presente en nosotros de forma que no lleguemos a actitudes como las que vemos casi cada dia delante de los palacios de justicia.

Nosotros no somos quienes para juzgar, para ello están los jueces y la Justicia - con mayúscula.

Y por supuesto nuestros principios y sentimientos morales - algo que deben corregir las nuevas asignaturas propuestas por el gobierno de la nación - nos deben impedir confundir venganza con justicia.

La venganza no es moral, la injusticia tampoco.

Wednesday, July 29, 2009

When a human life has no importance for antiabortionists

The Guardian gives this piece of news today:
http://www.google.com/reader/view/#stream/feed%2Fhttp%3A%2F%2Ffeeds.guardian.co.uk%2Ftheguardian%2Frss

What happens inside a human head when it receives stimuli from respected voices to behave in an inhumane way? That is the question I pose myself about the story given by The Guardian. This antiabortionist killer - something which is absolutely incongruous - may not have reached that decision out of his own self. On he contrary I would say he got the idea because some louder voice in his brains induced him to act against a human being as the only way for the defence of his "ideals". That's crazy indeed!

Part of the article reads: "Tiller's death was the most violent act in America's highly polarised debate on abortion for many years. Several abortion doctors were shot in the 1990s, including Tiller who was shot in both arms in 1993 but survived and carried on practising."

Another: "A few days later from his prison cell he (the killer) warned that "similar events" were planned around the country "as long as abortion remains legal"."

I wonder whether Americans will realise where the country is going to. When the human being decides to carry out justice himself, then the ethical and moral values of a country are running down the sink.

Which takes me to again wonder how the concept "Democracy" is really understood.

Which takes me to wanting to know who stir these murderous feelings in the killers and what legal responsibility they have regarding the society they live in.

Sunday, July 26, 2009

Zelaya vuelve a la zona fronteriza para intentar entrar en Honduras

El periódico "El Pais" dice:
http://www.elpais.com/articulo/internacional/Zelaya/vuelve/zona/fronteriza/intentar/entrar/Honduras/elpepuint/20090725elpepuint_3/Tes

El presidente depuesto ya intentó el viernes ingresar en el país.- Aparece un joven muerto con signos de tortura en el lado hondureño de la frontera.- Los vecinos aseguran que era un partidario de Zelaya y que lo había arrestado la Policía


El depuesto presidente de Honduras, Manuel Zelaya, ha vuelto este sábado, por segundo día consecutivo, al puesto de Las Manos, en el lado nicaragüense de la frontera, para intentar ingresar en su país. Mientras tanto, la tensión crece en el lado hondureño de frontera, donde el nuevo Gobierno ha desplegado a numerosos efectivos de las fuerzas de seguridad, ha ampliado el toque de queda y ha insistido en que Zelaya será detenido si pisa suelo hondureño.

Honduras

Honduras

A FONDO

Capital:
Tegucigalpa.
Gobierno:
República.
Población:
7,639,327 (est. 2008)
Zelaya quiere regresar a Honduras
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Soldados hondureños cortan el paso en una carretera en Paraíso, en la frontera de Honduras con Nicaragua.- REUTERS

Aparece muerto un supuesto seguidor de Zelaya
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Varios vecinos contemplan el cadáver del joven que ha aparecido muerto en la localidad fronteriza con Nicaragua de El Paraíso. Según lo vecinos, el joven era partidario del retorno del presidente depuesto, Manuel Zelaya -quien ayer intentó entrar en Honduras por esa zona- por lo que fue arrestado por las fuerzas de seguridad.- AP

La noticia en otros webs

Además, un joven, supuesto seguidor del presidente depuesto, ha sido encontrado muerto este sábado con aparentes señales de tortura en la zona limítrofe con Nicaragua. Según algunos vecinos de la zona, el joven había sido detenido por las autoridades hondureñas, versión desmentida por la policía. Los vecinos, quienes han identificado a la víctima como Pedro Ezequiel, han asegurado que policías y militares le detuvieron, con el argumento de que estaba "fumando marihuana", en el momento en que Zelaya intentaba ingresar por el punto fronterizo de Las Manos.

Sin embargo, un portavoz de la Policía, Orlin Cerrato, ha señalado que el único joven que fue detenido en el sector de El Paraíso, próximo a la frontera con Nicaragua, es Gerson Evenor Vilches Almendárez, quien fue puesto en libertad hacia las 07.30 horas del sábado (15.30, hora peninsular española). Cerrato ha agregado que la Policía desconoce del caso de Pedro Ezequiel y que cuando los vecinos anunciaron su hallazgo "no permitieron el acceso de un fiscal, ni de agentes del orden a la escena del crimen".

Movimiento "temerario" de Zelaya

En un movimiento calificado de "temerario" por Estados Unidos, Zelaya pisó el viernes brevemente el suelo de su país tras cruzar la frontera desde Nicaragua, adonde regresó de inmediato para evitar ser detenido por la policía hondureña.


Artículo completo en el "link" de "El Pais"

¿Qué ocurre con Zelaya? ¿Porqué ahora se le acusa de irresponsable y antes era poco menos que un mártir? Se me ocurren ideas acerca de estos acontecimientos, pero si alguien tiene respuestas para estas preguntas quizá se atreva a darlas.

O, ¿es demasiada ilusión por mi parte?

Les îles bretonnes, laboratoires de maîtrise d'énergies

"Le Monde publie cet article, il faut que des examples suivent cette initiative, en principe sur toute l'Europe,

http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/07/25/les-iles-bretonnes-laboratoires-de-maitrise-d-energies_1222707_3244.html

Ouessant (Finistère) Envoyé spécial

Cet été, un étrange ballet se répète chaque jour sur les petites routes qui serpentent dans le décor sauvage de l'île d'Ouessant, sur l'Atlantique, à 20 kilomètres à l'ouest de la côte du Finistère. Maison après maison, des techniciens sillonnent l'île, entrent, inspectent, remplacent cinq ampoules par des modèles à basse consommation et équipent chaque robinet de mousseurs qui divisent par trois l'arrivée d'eau, puis repartent sans rien faire payer.


Iles Molène compte 230 habitants sur 75 hectares, Ouessant, 850 habitants sur 1 500 hectares, Sein, 250 habitants sur 50 hectares. L'été, les trois îles multiplient leur population par cinq ou six.

Connexion Distances trop longues, fonds marins trop accidentés : Sein, Ouessant et Molène font partie de la zone non interconnectée d'EDF, alors que les autres îles bretonnes comme Houat, Hoëdic, Belle-Ile, Groix, Bréhat ou Batz sont raccordées au réseau électrique continental grâce à des câbles sous-marins.

Coût Produire de l'électricité coûte en moyenne sept fois plus cher à Ouessant ou à Molène que sur le continent. Le surcoût est compensé par la contribution au service public de l'électricité payée par tous les abonnés. Les îliens payent le même prix que les consommateurs du continent.

A 6 milles de là, de l'autre côté des eaux turbulentes du passage du Fromveur, le même manège se produit sur l'île de Molène. A l'origine : un programme d'économies d'énergie qui réunit les collectivités locales, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) et EDF. "C'est important pour des raisons de coût et pour garantir notre sécurité énergétique. Et puis notre image touristique est liée à la nature et à l'environnement", explique le maire d'Ouessant, Denis Palluel.

Non raccordées au réseau EDF, les deux îles du Ponant brûlent 2,3 millions de litres de fioul chaque année pour produire leur électricité. Toutes les semaines, l'Enez- Eussa ravitaille en carburant les trois groupes électrogènes de Molène et les quatre d'Ouessant pour satisfaire une demande dopée par les résidences secondaires et le tourisme. "Une hérésie totale !", résume Gilles Petitjean, directeur régional de l'Ademe.

En plus de l'équipement gratuit en ampoules et en plomberie, les résidents de Molène et Ouessant se voient proposer une subvention plafonnée à 300 euros pour remplacer leurs vieux réfrigérateurs et congélateurs par des appareils de classe A+. "Cette incitation est essentielle : beaucoup d'habitants sont âgés et ont des revenus modestes, ils gardent leur matériel plus de vingt ans parce que tout dans les îles est plus cher et plus compliqué", estime M. Palluel.

Le dispositif a déjà fait ses preuves. Dans l'île de Sein, à la pointe sud du Finistère, où il a été testé dès 2005, la consommation d'électricité a chuté de 15 %.

Lire l'article complet au link au dessus.

"Breaking the Silence:" Testimonies of Israeli Soldiers

From "The Baltimore Chronicle and Sentinel" http://www.baltimorechronicle.com/

by Stephen Lendman
Friday, 24 July 2009

For over six decades, Israel defiled international law by committing the most egregious crimes of war and against humanity against Palestinian civilians and neighboring Arab states. The world community hardly blinks.

Unquote


Read full article in link above.

One Percenters Enjoy Unprecedented Protection

This article refers to USA only but may be applicable to everywhere else.

From "truthout": http://www.truthout.org/072509D?n

by: David Sirota | Visit article original @ Coloradaoan.com

photo
(Artwork: Image Zoo)

Here's a truism: The wealthiest 1 percent have never had it so good.

According to government figures, 1 percenters' share of America's total income is the highest it's been since 1929, and their tax rates are the lowest they've faced in two decades. Through bonuses, many 1 percenters will profit from the $23 trillion in bailout largesse the Treasury Department now says could be headed to financial firms. And most of them benefit from IRS decisions to reduce millionaire audits and collect zero taxes from the majority of major corporations.

But what really makes the ultra-wealthy so fortunate, what truly separates this moment from a run-of-the-mill Gilded Age, is the unprecedented protection the 1 percenters have bought for themselves on the most pressing issues.

To review: With 22,000 Americans dying each year because they lack health insurance, Congress is considering universal health-care legislation financed by a surcharge on income above $280,000 - that is, a levy almost exclusively on 1 percenters. This surtax would graze just 5 percent of small businesses and would recoup only part of the $700 billion the 1 percenters received from the Bush tax cuts. In fact, it is so miniscule, those making $1 million annually would pay just $9,000 more in taxes every year - or nine-tenths of 1 percent of their 12-month haul.

Nonetheless, the 1 percenters have deployed an army to destroy the initiative.

The foot soldiers are the Land Rover Liberals. These Democratic lawmakers secure their lefty labels by wearing pink-ribbon lapel pins and supporting good causes like abortion rights. However, being affluent and/or from affluent districts, they routinely drive their luxury cars over middle-class economic interests. Hence, this week's letter from Boulder's dot-com tycoon Rep. Jared Polis, D, and other Land Rover Liberals calling for the surtax's death.

Echoing that demand are the Corrupt Cowboys - those like Sen. Max Baucus, D-Mont., who come from the heartland's culturally conservative and economically impoverished locales. These cavalrymen in both parties quietly build insurmountable campaign war chests as the biggest corporate fundraisers in Congress. At the same time, they publicly preen as jes' folks, make twangy references to "voters back home" and now promise to kill the health-care surtax because they say that's what their communities want.

That fantastical fairly tale, of course, couldn't exist without the Millionaire Media - the elite journalists and opinionmongers who represent corporate media conglomerates and/or are themselves extremely wealthy. Ignoring all the data about inequality, they legitimize the assertions of the 1 percenters' first two battalions, while actually claiming America's fat cats are unfairly persecuted.

Most brazenly, NBC's Meredith Vieira asks President Barack Obama why the surtax is intent on "punishing the rich"?

For his part, Obama has responded with characteristic coolness - and a powerful counter-strike. "No, it's not punishing the rich," he said. "If I can afford to do a little bit more so that a whole bunch of families out there have a little more security, when I already have security, that's part of being a community."

If any volley can thwart this latest attack of the 1 percenters, it is that simple idea.

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David Sirota is the bestselling author of the books "Hostile Takeover" (2006) and "The Uprising" (2008). Find his blog at OpenLeft.com or e-mail him at ds@davidsirota.com.

Unquote

Interesting, isn't it?

Saturday, July 25, 2009

Header

The header gives a wide view of part of the Island of Tenerife, Canary Islands, with the Peak Teide on the background.

Sunday, July 19, 2009

El habla canario y americano - tuteo

Me ha llamdo siempre la atención cómo los canarios y los hispano-americanos utilizan el lenguaje formal para la segunda personal del plural, pero el tuteo para la segunda personal del singular en sus conversaciones con familiares, amigos y niños en general.

Dicen: Tú hermano, pero ustedes hermanos.

La conjugación del verbo la hacen en la forma correspondiente al uso de la persona del verbo que utilizan:

Dicen: Tú me dijiste, pero ustedes me dijeron
Usted me dijo, ustedes me dijeron

Es decir tratándose del plural no existen diferencias en el habla entre personas próximas y las que no lo son.

Lo que me hace pensar que, hace mucho tiempo en el pasado, las personas se trataban todas de usted, padres, madres, esposos, hijos, etc., y mi memoria me dice que efectivamente fué así, porque me acuerdo que, en Tenerife, en Canarias, cuando yo era un niño, se hablaba de tal manera en el campo, aunque ya en las ciudades empezaban a usarse singular y plural como lo hablamos actualmente, es decir como explico arriba.

Con América hispana ocurre lo mismo.

Y para mí, todo esto es consecuencia de la lejanía de la Península que es donde empezaron a hacerse los cambios en el lenguaje. No se extrapolaron a Canarias y América los cambios y modismos del lenguaje que se utilizaban y utilizan en la España continental.

Con el uso de la "c", la "z" y la "s" ocurre lo mismo. Las dos primeras en Canarias y América- donde se pronuncian como "s", la última sólo en Canarias - donde se aspira cuando es final de palabra (provincia de Tenerife) o simplemente se elimina en el lenguaje hablado (provincia de Las Palmas), no así en el escrito. En América la "s" final se pronuncia.

La Gramática española ha recogido los cambios ocurridos en la Península y así se estudian en las Islas Canarias y se utilizan normalmente en correspondencia oficial o seria, aunque no suele ocurrir lo mismo en la correspondencia privada entre canarios, donde se usan los modismos que expongo anteriormente.

Thursday, July 16, 2009

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