Monday, August 31, 2009

Quand la monnaie des contribuables sert à déviations frauduleuses

http://inventerre.canalblog.com/archives/2009/08/31/14901616.html

C'est incroyable. Si vous lissez cet article vous verrez qu'on ne parle rien d'intervention du gouvernement francais à propos de la situation de l'entreprise après avoir recu cette importante contribution de l'état pour renflouer sa situation économique.

Je pense que c'est d'ores et déjà le temps d'agir contre toutes ces infractions morales et économiques. Peut-être un embargo aux importations en provenance des pays oú ces entreprises traîtres ont deployé leurs effectifs serait la réponse correcte...

Saturday, August 29, 2009

Les bonus et les risques : le retour de la spéculation

http://www.canalblog.com/cf/fe/tb/?bid=295434&pid=14882962

Je ne crois pas que les spéculations se soient terminées. Tout a éte une spéculation depuis le principe: la crise est une spéculation, ce qu'ils on dit à propos des traders, ce qui a parut dans les médias, tous ces "nouvelles" font partie de la gigantesque spéculation.

Ici en Espagne si les constructeurs de logements remboursaient ce qu'ils ont surchargé sur les prix normaux, la crise serait terminée. Et je pense que ca a survenu partout, d'une facon ou d'¡autre.

C'était une hyperinflation qui a éte ici à la base de tout.

Préméditation et traîtrise est l'expression.

Sunday, August 23, 2009

La pire pandémie: La Peur

J'ai lu ici http://inventerre.canalblog.com/archives/2009/08/23/14818565.html un article qui m'a fait penser à ce qui est réellement les plus important fournisseur de la monnaie aux grandes entreprises du monde : La Peur.

Les guèrres, parmi elles l'Iraq et l'Afghanistan, sont pour le moment comme il l'était la merveilleuse guèrre du Vietnam, une source de revenus pour toutes les entreprises ayant à voir avec la guèrre, et naturellement toujours les pharmaceutiques. Au même temps si elles servent pour protéger les gisements pétrolifères, tant mieux.

La peur sert aux classes dominantes pour dominer, bien à travers des revenus ou bien à travers du sense de protection qu'elles donnent au peuple. C'est bien entendu le Nouvel Ordre don't tant nous ont parlé les Médias. L'Ordre du Terreur, je voudrais dire.

Et qu'est-ce que pensent les gens? Seulement ils pensent à s'en tirer. Pas de problèmes: mon salaire, mon football, ma messe, mon whisky, cela qui me distrait, ca c'est mon seul souci. Pas plus. Sans s'en rendant compte que cette attitude sert à l'exploitation d'eux mèmes.

Et les entreprises s'en profitent.

Wednesday, August 19, 2009

La reprise mondiale a commencé, FMI

Je crains que ce ne soit qu'une diversion pour calmer la peur de nos pauvres consommateurs et, surtout, les chômeurs. Parce que si cette peur-là progrèssait alors nous pourrions nous trouver dans des circonstances pas agréables. Quelque chose que ceux réelment détentant le pouvoir ne voudraient.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/08/18/le-reprise-mondiale-a-commence-selon-le-fmi_1229756_3234.html#xtor=RSS-3208

Sunday, August 16, 2009

La Crisis

Leo en varios blogs opiniones en relación con la crisis que no hacen sino intranquilizarme. Por una parte en http://www.betapolitique.fr/Crise-systemique-le-trou-noir-35340.html leo que de término de la crisis, nada de nada. Que lo que el gobierno americano pretende que se crea no es lo que va a ocurrir. Por otra parte http://ecofi.blog.lemonde.fr/2009/08/10/comportement-boursiers-et-evolution-des-marches/ mete a la bolsa por medio, cuando de todos es sabido que bolsa y situatión real no parecen ir de la mano.

Cuando el Euro hizo acto de presencia en las compras y ventas españolas el 1 de Enero de 2002, la debacle se cernió sobre el pais. Los españoles perdieron el sentido del valor monetario, dándose importancia a lo cuantitativo en lugar de a lo cualitativo. Así tenemos que lo que antes nos costaba 60 pesetas (el café en los bares) pasó a costarnos 60 céntimos de Euro (= a 100 pesetas aproximadamente), es decir ni más ni menos que casi el 70% más caro. De forma más o menos desordenada fue ocurriendo lo mismo con todo lo que no fueran productos tan básicos como el azúcar, el pan, la harina. En términos generales el gobierno de la nación entonces, presidido por José María Aznar, reconoció extra-oficialmente que la vida había subido un 30% aproximadamente. La realidad fue que el incremento superaba esta cifra.

Estamos en un pais de economia libre de mercado. Los precios se pagan o no se pagan, dependiendo de que sean razonables o no. Por lo que las autoridades competentes no intervinieron en el control de los nuevos precios. Todos los españoles de a pie pudimos comprobar como la cantidad de dinero que antes utilizábamos para hacer la compra, con la nueva moneda procedente de nuestros ingresos - que no sufrieron modificación alguna - se nos iba poco a poco haciendo insuficiente. Los comerciantes no tuvieron escrúpulos en elevar sus precios en proporciones desmesuradas. Y nosotros - los españoles de a pie - seguimos pagando.

Como si esto fuera poco, veo que repentinamente los precios de las viviendas se vieron aumentadas en muchos casos en el 100%. Como los bancos privados soltaron la mano en la concesión de hipotecas para las compras de los nuevos pisos, sin atender a razones de solvencia - contrariamente a lo que habian venido haciendo hasta ese momento -, y la duración de las hipotecas llegó hasta 50 años, con lo que la cantidad que el comprador tendría que pagar al principio se podia equiparar en su cuantía a la de un alquiler normal, se produjo de forma exagerada el "boom" de la adquisición de viviendas. Nadie se dió cuenta que los tipos de interés podían cambiarse y que la base de esos tipos habia sido incrementada al doble. Los constructores no sufrieron en la mayoria de los casos el menor riesgo puesto que se trataba, en el caso de las hipotecas, de una relación comprador/banco.

Y cuando todo se paró, y cuando los tipos empezaron a crecer, todo se vino abajo.

Lo que vino después es sabido de todos, pero quiero insistir en que lo que realmente entró en crisis fueron las economías personales de los compradores. ¿Porqué, entonces, se ha generalizado todo? Los bancos no son tontos y estoy seguro de que vieron venir la catástrofe. Recuerdo al Sr. Botin, Presidente del Banco de Santander, diciendo que la Banca española era fuerte y podía soportar lo que estaba ocurriendo, al igual que el Presidente del Gobierno, José Luis Rodriguez Zapatero.

Entonces sólo una pregunta me queda:

¿PORQUÉ?

Thursday, August 13, 2009

Une femme interdite de piscine en France - burkini?

Céla m'étonne que en plein siècle XXI ce soit toujours la discrimination réligieuse qui prend les premières dans les journaux. Cette nouvelle apparue dans Le Monde en est la cause.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/08/12/une-femme-interdite-de-piscine-pour-cause-de-burqini_1228075_3224.html#xtor=RSS-3208

Je me rapelle des situations qui avaient lieu dans le siècle passé par les objections faites para l'Église Catholique à propos des bikinis, même des top-less. Ces situations ont été changées par les femmes at les hommes qui ont estimé que l'Église n'avait rien a voir avec la liberté individuelle des personnes. Et l'Église devait avaler ses propres objections.

Peut-être nous devons attendre a ce que les burkistes arrivent à la même position oú les Catholiques étaient le siècle passé.

Thursday, August 6, 2009

Murdoch papers to charge for websites by 2010

Media mogul Rupert Murdoch has reached the conviction that his papers on line have no more influence on everybody. Internauts have realised which news are credible and which are not and they have come to the conclusion Murdoch's are within the latter. Murdoch will keep publishing on the internet and his news will not be free, but that doesn't matter to him because those loyal will keep reading them and that's at least something positive for him.

Quote

By Stephen Foley in New York

Thursday, 6 August 2009


Reuters

Only one Murdoch newspaper currently charges for access to its website: The Wall Street Journal

The days of being able to read newspapers for free on the internet are coming to a close, the media mogul Rupert Murdoch signaled, as he promised The Times and The Sun would begin charging for access to their websites within months.

In a sweeping rethink of how the beleaguered newspaper industry operates, the News Corporation founder declared that quality journalism must come at a price.

"We will be platform neutral, but never free," Mr Murdoch told investors, moments after revealing that plunging revenues from his newspapers had helped push the company into the red. With newspaper advertising collapsing, "the drumbeat for change" is only growing louder, he said. "Quality journalism is not cheap, and an industry that gives away its content is simply cannibalising its ability to produce good journalism."

The plan to charge for online news is being hatched by a team of Mr Murdoch's senior lieutenants, including his son James, and Rebekah Wade, the editor of The Sun who is moving up to become head of News International, the newspaper division that controls the company's four British titles.

And it could also mean the start of charges to access Sky News on the internet, Rupert Murdoch signaled last night. The same online strategy will be adopted at News Corp's US businesses, which include the Fox News cable channel and The New York Post newspaper.

Only one Murdoch newspaper currently charges for access to its website: The Wall Street Journal, which he bought two years ago. At the time of the acquisition, the mogul planned to scrap the charges, but changed his mind on realising that he would not recoup the lost revenue by charging more for adverts.

Executives are still to decide how much the UK's online newspaper readers will be billed and for what sorts of content, but Mr Murdoch said he was not scared about losing readers if he is the first to start charging. "If we are successful, we will be followed by all," he predicted. Fees will be introduced by the end of News Corp's financial year, which runs until next June.

Advertising at Mr Murdoch's four UK titles fell 18 per cent in the three months to the end of June, News Corp revealed last night. While the rest of the sprawling media company, which also owns TV networks in the US and satellite television in Europe and Asia, has seen a rebound in advertising income in July, Mr Murdoch said, there has been no such rebound in newspaper ads. The 78-year-old businessman declared again that he would emerge stronger from the current recession, particularly if it puts rival newspapers out of business. Amidst rumours in the UK that loss-making Guardian Media Group has hatched a plan to scrap its Sunday paper The Observer, Mr Murdoch was asked if he might consider buying it. "Hell no," he replied. "Why?"

Unquote


http://www.independent.co.uk/news/media/online/murdoch-papers-to-charge-for-websites-by-2010-1767981.html


Monday, August 3, 2009

Justicia y Venganza

Dos términos que se contraponen abiertamente, pero que estoy cansado de ver en los medios como algo natural para miles de personas cuando se trata de juzgar a alguien que ha cometido un delito contra la persona o propiedad de sus convecinos, amigos y familiares.

Veo gentes en las calles arrojando piedras a los vehículos que transportan a los que en esos momentos no son sino presuntos criminales, o tratando de agredirles personalmente, algo que en sí mismo es tambien un delito. Vergonzoso, pero claramente un problema de buena educación.

El nuevo modelo de educación puesto en nuestro conocimiento por el gobierno actual me parece que, si encierra en sus enseñanzas los principios que deben conducirnos para una pacífica convivencia, podría corregir estos defectos que están inundando las actitudes de los miembros de nuestra sociedad.

Sé que es muy difícil ir contra los sentimientos personales de todas y cada una de las personas que, de una forma u otra, se ven afectadas por delitos cometidos contra sus personas o contra de allegados, pero el sentimiento de justicia debería estar siempre presente en nosotros de forma que no lleguemos a actitudes como las que vemos casi cada dia delante de los palacios de justicia.

Nosotros no somos quienes para juzgar, para ello están los jueces y la Justicia - con mayúscula.

Y por supuesto nuestros principios y sentimientos morales - algo que deben corregir las nuevas asignaturas propuestas por el gobierno de la nación - nos deben impedir confundir venganza con justicia.

La venganza no es moral, la injusticia tampoco.